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Depuis Henri IV et surtout depuis la Révolution Française, toutes les grandes infrastructures nationales ont été financées par l'impôt ou nationalisées. Le coût a donc été réparti de façon équitable à terme sur l'ensemble des contribuables.
Les routes nationales, les autoroutes, les voies de chemin de fer, les LGV ont permis le désenclavement des régions françaises, le rapprochement des cerveaux et donc la création de richesses et d'emplois.
Ce fût le cas récemment des LGV Lille-Paris-Lyon-Marseille, puis Paris-Tours.
La LGV Tours-Bordeaux n'est plus financée de façon équitable.
Et maintenant on nous refuse la Ligne à Grande Vitesse de Bordeaux à Dax et de Bordeaux à Toulouse. On veut nous faire croire qu'il faut laisser la région Aquitaine et la région Midi-Pyrénées en dehors de ce champs de modernisation et créer un no man's land dans le Sud-Ouest entre la France et l'Espagne.
C'est un scandale (sic).
D'autant que dans le domaine autoroutier, l’A65 presque entièrement financée par le privé, avec un surcoût environnemental exorbitant, a un tarif en conséquence alors que d’autres régions ont des autoroutes gratuites ; connaît-on la notion de péréquation dans un état qui parle d’égalité matin, midi et soir ?
En d'autres temps, cette injustice flagrante aurait déclenché une révolte régionale, voire une révolution nationale.
Que se passe-t-il ?
La France a-t-elle perdu son âme ?
Le Sud-Ouest est-il anesthésié ?
J'en appelle aux mânes de Montaigne, d'Henri IV et de Montesquieu pour nous réveiller.
Pierre SAUBOT, Président de BAP
dans Actualité, BAP s'exprime, LGV, Rail | Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous,
Béarn Adour Pyrénées a décidé de lancer une pétition adressée au Président de la Région Aquitaine, puisque les TER sont de la compétence régionale, afin de résoudre une situation récurrente sur la route Pau Oloron.
Cette pétition propose une solution quasi immédiate pour favoriser le report modal dans le cadre d’une politique de développement durable.
Si vous partagez notre avis, merci, et de signer cette pétition par internet, et d’indiquer « j’aime » sur notre page Facebook et de transférer ce message à vos amis.
Merci encore pour votre soutien. Vos avis et vos commentaires seront les bienvenus.
La pétition par internet :: http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2015N47322
La page Facebook : https://www.facebook.com/trainpauoloron
- Parce qu’environ 12 000 véhicules, soit près de 17 000 usagers, empruntent tous les jours la RN 134 entre Oloron et Pau
- Parce que l’entrée sud de Pau, route de Gan à Jurançon, souffre d’un engorgement chronique à certaines heures de la journée
- Parce que cette situation génère pollution et perte de temps
- Parce que cette route est accidentogène
- Parce qu’actuellement seulement 400 voyageurs en moyenne par jour empruntent la ligne ferroviaire Pau Oloron
L'association Béarn Adour Pyrénées (BAP) et les signataires de cette pétition
réclament au Conseil Régional d’Aquitaine et à son Président :
- L’expérimentation tout le long du trajet ferroviaire Pau-Oloron du tarif unique à 1€, comme dans la Région Languedoc Roussillon
- L’aménagement sur cette ligne Pau-Oloron d’une voie de croisement de deux trains par l’utilisation de la deuxième voie existante dans la gare de Buzy
- L’augmentation des fréquences par une rotation plus importante avec deux rames TER, au lieu d’une. Ces deux rames seront nécessaires lors de la mise en service de la ligne Oloron-Bedous
Ces mesures permettront d’évaluer l’ampleur du report modal de la route vers le rail pour alléger la desserte routière Pau-Oloron et l’entrée sud de Pau.
Elles peuvent être décidées et mises en œuvre très rapidement. Leur financement peut être assuré par les 35 millions d’euros perçus par la Région Aquitaine (TICPE Grenelle) destinés à financer des infrastructures de transports durables.
Les camions franchissent de nouveau la frontière.
LE POURTALET AU REGIME DE L’ALTERNANCE
Il n’était pas possible de laisser la frontière interdite aux poids lourds plus longtemps. L’affaire a fait trop de bruit en Espagne où les décideurs politiques et économiques de l’Aragon ont laissé éclater leur colère, bien traduite dans les médias, pour ne pas laisser insensibles les autorités françaises. Responsables du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques et de l’Etat se sont réunis avec leurs alter egos aragonais pour trouver une solution qui a été mise en œuvre aussitôt. Reste à régler le problème épineux de Laruns où les camions sont « véhicula non grata ».
Le renforcement de la RN 134 au sud d’Urdos exigeant plusieurs semaines de travaux – on parle de rouvrir cet axe E7 seulement en juillet - et l’utilisation comme solution de rechange, en l’état normal, de la RD 934, à partir du col du Pourtalet posant d’autres problèmes sérieux, ont donc amené les pouvoirs publics à adopter une disposition transitoire radicale et néanmoins acceptable. Le dispositif proposé permet ainsi aux poids lourds de plus de 12 tonnes – surtout usagers du trafic local (Huesca, Jaca) -de ne plus avoir à faire, temporairement, un grand crochet de plus de 200 km- par Béhobie et Hendaye pour passer la frontière.
Il faut dire que le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques, gestionnaire de la RD 934, qui va du col du Pourtalet à Laruns n’a pas laissé traîner l’affaire. Confronté régulièrement aux problèmes posés dans les montagnes béarnaises et basques notamment l’hiver, avec la neige ou les glissements de terrains, le Département est bien rôdé et fait le maximum pour apporter les remèdes adéquats. Il a pris un arrêté permettant que les camions d’un tonnage supérieur à 12 tonnes, empruntent la RD 934 de façon alternée – comme le suggéraient les Espagnols – pour éviter que les véhicules lourds et encombrants aient à se croiser sur une route connue pour être sinueuse et inadaptée. Ces poids lourds descendent donc le col depuis l’Espagne de 6 h à 13h, et ceux qui viennent de France sont autorisés à le remonter à partir de 14h jusqu’à 5h du matin. Les véhicules de moins de 12 tonnes et les cars ne sont pas concernés par les restrictions de l’arrêté.
DURE EPREUVE POUR LA RD 934
BAP est allée à deux reprises en vallée d’Ossau, jusqu’à Gabas, dès que le dispositif a été mis en œuvre. Dès 6 heures du matin un premier contingent de camions dévale le col. A 14h, quelques poids lourds se présentent à Laruns pour le grimper. Jusqu’à 17h, le 7 mai, nous n’en avons comptés qu’une douzaine en redescendant de Gabas. Ce qui n’a pas posé de problème de cohabitation avec le trafic des autres véhicules légers, souvent obligés de s’arrêter pour permettre le croisement avec les véhicules encombrants.
Il n’y a pas eu d’incidents au cours du week-end du 8 mai. Il aurait pu y en avoir le 12 mai, à plein trafic. Mais non. Nous avons pu vérifier ce lundi matin que le trafic PL sur la RD 934 était supportable. En fait, les vrais problèmes sont parfaitement identifiés. Les riverains que nous avons interrogés à Laruns et Gabas ne cachent pas qu’un trafic important de mastodontes est susceptible de dégrader dangereusement la RD 934. Il s’agit en effet d’une route qui n’a ni le gabarit ni le profil adaptés à la circulation des poids lourds. Des risques d’affaissement existent et pas seulement dans les gorges du Hourat – la hantise des responsables de l’entretien de la route - où divers péripéties se sont déjà produites. Et puis, surtout, ce sont les sérieuses difficultés générées par les camions dans la traversée de Laruns qui sont apparues comme le talon d’Achille du système d’alternat.
SOLLICITER L’EUROPE BAP rappelle que la RN 134 en vallée d’Aspe dépend de l’Etat seul. Malgré les réticences d’Alain Rousset, président du Conseil Régional, l’Etat pourrait faire inscrire l’exécution des travaux indispensables de sécurisation de la RN 134 au Contrat de Plan Etat Région et dans le PDMI. De plus, BAP demande aux candidats à l’élection Européenne de solliciter l’Europe. Certes, l’U.E. pour l’instant se refuse à financer les infrastructures routières. Cependant, l’état actuel des autoroutes allemandes pourrait inciter à une révision de cette politique. Dans ce domaine aussi,il serait possible aux futurs élus d’influer positivement en faveur des relations transfrontalières européennes.
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A l’évidence, la capitale de la vallée d’Ossau n’est pas préparée à absorber des vagues de poids lourds. Faute de déviation, ces derniers sont contraints, en particulier dans le sens sud-nord, de traverser Laruns par la rue commerçante principale qui ne comporte qu’une voie tant elle est étroite. Un peu comme si les camions passaient par la rue Barthou à Oloron ou la rue Serviez à Pau ! Exaspération et appré-hension des riverains. Le maire, Robert Casadebaig, préoccupé par l’insécurité de la situation et le désagrément causé à ses concitoyens, a aussitôt pris un arrêté interdisant la circulation des poids lourds dans sa commune de 18h à 9h, arrêté qui est en partie contradictoire avec celui du Conseil général.
Le dépit s’est de nouveau manifesté en Aragon où le délégué du Gouvernement, Gustavo Alcalde, suggère à l’Etat français d’accélérer les travaux de réparation de la RN 134 en vallée d’Aspe et de faciliter le contournement du goulot d’étranglement de Laruns, qui existe, selon lui, mais n’est pas utilisé.
Les seuls légalement habilités à trancher ce nœud gordien sont le sous-préfet et le préfet. La situation étant complexe et le problème ultrasensible, les représentants de l’Etat, ceux du Conseil général et de la commune de Laruns vont donc se réunir cette semaine pour trouver un compromis qui règle notamment le transit des PL et semi-remorques en vallée d’Ossau.
LA SOLUTION A LARUNS ?
Comment empêcher que les camions passent dans le centre de Laruns ? Une solution existe qui consiste à utiliser un itinéraire de contournement à partir de la gare, à travers le quartier de Pon puis à remonter jusqu’à la sortie sud de la cité en empruntant la rue longeant le gave de l’Ariusec. Cependant il y a des passages étroits qui impliquent la nécessité d’un sens unique pour les camions. Cette solution pourrait être choisie… en attendant qu’un jour les poids lourds puissent emprunter une route de contournement adaptée pour éviter le centre de Laruns. Des réserves foncières ont déjà été constituées à cet effet.
CONVOCATION Assemblée Générale de BAP, jeudi 16 mai 2013. |
En présence de Fernando Riquelme Lindon, Consul d’Espagne
À 17 h 45, Salle Navarre – Parc des Expositions de Pau
O R D R E D U J O U R
Seuls les adhérents à jour de leur cotisation pourront voter.
Particuliers : 20 € - Association : 40 € -
Société jusqu’à 25 salariés : 100 €,
de plus de 25 salariés : 200 €.
Le pouvoir peut être adressé à un autre membre ou bien laissé en blanc.
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BAP sera présent à la Foire de Pau sur le stand de la CCI.
Du 7 au 16 septembre
Venez débattre avec nous des grands projets d’infrastructure qui font l’actualité :
Et si vous soutenez notre action, rejoignez-nous !
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Le collectif de défense du Gurmençonnais et des communes riveraines à réalisé en mai un comptage des véhicules passant Porte d’ Aspe, afin de le comparer à un comptage équivalent effectué en mars 2011.
En voici les résultats. Si le flux de PL est resté relativement constant, on note une forte augmentation des véhicules grand-routiers à semi-remorques (+104) , souvent en plaques étrangères, ainsi qu’une évolution notable du trafic de VL (+714)
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Le Syndicat mixte d’études de la liaison routière Pau-Oloron a missionné l’Agence d’Urbanisme Atlantique & Pyrénées (AUDAP) pour mener une grande enquête publique sur la mobilité des habitants en Béarn et Soule.
Cette enquête est en ligne depuis avril et jusqu’à la fin du mois de juin sur le site dédié à cet effet
http://www.enquete-mobilite-haut-bearn.fr/
Sans grand succès semble-t-il, puisque selon le site lui-même, seulement 300 personnes ont répondu à cette enquête, un échantillonnage pour le moment très insuffisant.
(Le site Facebook Olorondirect http://www.facebook.com/Olorondirect en parle )
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Nous le savons, il est bien plus facile dans ce pays de se faire entendre lorsqu’on est contre que lorsqu’on est pour, quel que soit d’ailleurs le sujet dont on parle. La relation que vient de faire La République des Pyrénées sous la plume de M Bruno Robaly et que nous reproduisons en page “Revue de Presse” de la réunion tenue par Code Béarn, sans doute en réponse à la remise des 3226 signatures de notre pétition au Président du Conseil Général, Georges Labazée, nous en apporte une preuve supplémentaire.
La sémantique d’abord: le mot “coûteux” y revient 4 fois, le mot “inutile” 3 fois et le mot “néfaste” seulement 2 fois, merci. Voilà de quoi ponctuer de la meilleure manière un texte objectif. Pour illustrer ce reportage, pas de photo de l ‘assistance ou des orateurs, mais une reprise de la photo de ce “stage citoyen” à la désobéissance civique organisé à Arbus, dont il avait été question dans les mêmes colonnes et toujours sous la signature de Monsieur Robaly et qui nous est à nouveau présentée ici.
“Ce n'est pas encore l'union sacrée mais force est de constater que des personnalités de tous bords s'interrogent”, nous dit-on. Pas encore ? Rien de bien nouveau pourtant. Les opposants au projet sont connus et ne comptent guère dans leurs rangs de nouvelles signatures, si ce n’est celle de Monsieur Denis Baupin, adjoint EELV au Maire de Paris, dont on comprend bien qu’il ne porte qu’un modeste intérêt au désenclavement du Béarn, de même que celle de Monsieur Noël Mamère qui parle sans doute au nom de ses administrés de Bègles, eux-même tout à fait concernés.
Quant aux propositions, rien de bien nouveau non plus. D ‘autant que pour l ‘essentiel, nous y sommes également favorables. Elargir et sécuriser la RN 134. Oui, bien sûr et c’est une priorité que nous soutenons. Rétablir la ligne Pau-Canfranc, certes. Et augmenter la fréquence des TER entre Pau et Oloron, évidemment.
Encore faudrait-il ajouter: “Lorsque c’ est possible”
Et à ce point de vue, nous attendons avec sérénité que la vérité des faits soit établie et que la faisabilité technique d’un élargissement suffisant de la RN 134, susceptible d’absorber les flux sans création de bouchons à l ‘entrée de Pau soit attestée par des spécialistes compétents. Ou que les limites de capacités de la voie unique Oloron Pau soient mises en perspective avec les conséquences de la réouverture de la liaison Pau-Canfranc.
Mais il est vrai que des solutions créatives peuvent toujours être proposées. Comme celle que suggère Monsieur le Maire de Billère: ouvrir une voie réservée aux bus sur la partie la plus saturée de la liaison entre Jurançon et Gan. Chacun appréciera…
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Le Conseil d’ administration de BAP, réuni le 10 mai 2012, a pris acte de la volonté de Jean-Michel Lamaison de ne pas renouveller son mandat après 2 mandatures successives et a élu pour lui succéder, Monsieur Pierre Saubot.
Rappelons que Pierre Saubot, industriel et viticulteur (Domaine du Cinquau) est également Président de la Garbure et de l’ Académie du Béarn.
Le Conseil d’ Administration a également procédé, conformément à ses statuts, au renouvellement de son bureau et a chaleureusement remercié Jean-Michel Lamaison pour l’ efficacité de son action à la tête de Bap lors de ses deux mandats successifs. Jean-Michel Lamaison est désormais Vice-Président statutaire de BAP.
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Monsieur le Président du Conseil Général, Sénateur des Pyrénées-Atlantiques,
Mesdames, Messieurs les Elus,
Mesdames, Messieurs.
Dois-je rappeler en préambule que l’activité de BAP n’a pas but de truffer le Béarn et les Pays de l’Adour, d’infrastructures inutiles et coûteuses, mais de faire seulement en sorte que nos territoires bénéficient de liaisons convenables, sécurisées, nécessaires et suffisantes à leur développement durable, c'est-à-dire prenant en compte, l’économique, le social et l’environnemental.
B.A.P est une association d’hommes et de femmes de tendances politiques diverses, qui ne sont, ni des bitumeurs ni des bétonneurs fanatiques, comme aimeraient le laisser entendre les partisans du «surtout ne rien faire». Les adhérents de B.A.P se sont rassemblés autour de l’idée simple, qu’il ne peut y avoir de développement économique et donc d’avenir pour le Béarn, sans les infrastructures minimum indispensables.
A quoi aura t’il servi de faire ce magnifique tunnel du Somport au sud du Béarn et de l’A65 au nord, si entre ces deux ouvrages d’art majeur de la région, la liaison routière Pau-Oloron-Somport reste ce qu’elle était au 19 siècle sur une bonne partie de son parcours.
A quoi sert-il de faire des autoroutes reliant les villes entre elles si leur desserte s’avère insuffisante.
Comment se fait-il que l’agglomération paloise n’ai eu droit pendant 30 ans, qu’à un seul changeur sur l’A64 alors que Tarbes en a toujours eu deux et que l’Unité Urbaine de Bayonne bénéficie de 6 échangeurs voire 7 avec Biriatou.
Aujourd’hui alors que l’échangeur de Lescar-Pau-Ouest est enfin opérationnel, il devient urgent de faire l’échangeur de Morlaàs-Pau-Est.
Cet échangeur, absolument nécessaire à la structuration économique de l’est de l’agglomération, avec de grandes entreprises comme TOTAL et TURBOMECA notamment, est également indispensable pour désengorger la rocade nord de Pau en faisant jouer le rôle de rocade bis avec, au final, un traitement un peu plus équitable de l’agglomération de Pau vis-à-vis de celle de Bayonne.
A quoi sert-il d’avoir fait la rocade nord/sud de Pau entre Lons et Billere, si elle ne se prolonge pas au nord avec un passage au dessus de l’A64 pour venir doubler et soulager la RN 134 actuellement complètement saturée à l’entrée nord de Pau.
A quoi sert-il de faire une nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse entre Bordeaux et l’Espagne, si c’est pour ignorer complètement la desserte du Béarn et de la Bigorre, voire même aggraver encore la situation ferroviaire de PAU en mettant la capitale du Béarn à plus de 260 km de Bordeaux, alors que la distance réelle n’excède pas 200 km entre ces 2 villes.
Savez-vous à ce sujet que si on ne fait rien pour améliorer la desserte du Béarn et de la Bigorre et à raison de 8 TGV par jour entre Pau et Bordeaux à l’horizon 2020, on fera annuellement plus de 350 000 km inutilement chaque année entre ces 2 villes sans que probablement aucun défenseur de l’environnement ne s’émeuve de l’énorme gaspillage énergétique, sans parler de la pollution.
Et tout cela pour obliger les futurs TGV à utiliser une ligne existante et inadaptée entre Dax et Pau, dont la rénovation pour relever la vitesse à 200 voire à 220 km/h, sera pratiquement aussi coûteuse que de faire une ligne neuve, entre Mont-de-Marsan et Pau, tout en ne gagnant que 7 minutes entre la cité thermale et la ville d’Henri IV.
Quand on sait qu’une ligne nouvelle entre Mont de Marsan et Pau permettrait d’atteindre Bordeaux en moins d’une heure pour le palois tout en réduisant la distance ferroviaire de 30 % par rapport à un passage par Dax, on reste dubitatif sur les motivations réelles des opposants à cette solution.
Voilà c’est pour tout cela et encore bien d’autres choses que B.A.P travaille tous les jours et a travaillé tout au long de cette année depuis notre dernière Assemblée Générale.
Je rappelle que l’activité de B.A.P se fait principalement à travers trois commissions de travail et de réflexion qui sont :
1) La Commission Ferroviaire et logistique présidée par J.C PATALANO assisté de Philippe GUILHEMSANS, sans oublier nos deux conseillers ferroviaires de très haut niveau que sont Robert CANDEBAT et Jean HOURCADE.
2) La Commission Routière et Autoroutière présidée par Gabriel LOUDET assisté de Jean Gabriel PEZET ;
3) La Commission Communication présidée par JM. GUILLOT assisté de François du CLUZEL, par ailleurs grand spécialiste des questions Espagnoles (par la taille et le talent).
C’est cette commission qui travaille actuellement à une nouvelle maquette de notre bulletin d’information.
Permettez-moi de remercier ici les adhérents de B.A.P qui participent fidèlement à ces commissions tout au long de l’année. Je rappelle qu’elles sont ouvertes à tous les membres de B.A.P qui veulent s’impliquer d’avantage.
Cette année comme les années précédentes de très nombreux contacts ont été établis avec les élus, l’administration et les décideurs en général.
C’est ainsi que les membres de la Commission Ferroviaire se sont rendus à Mont- de- Marsan puis à Tarbes pour rencontrer les maires de ces deux villes, de même qu’ils ont été reçus par Madame la Maire de Pau.
Le but de ces rencontres était de plaider pour une prise de position commune des élus en faveur de l’amélioration de la déserte Ferroviaire du Béarn et de la Bigorre à l’occasion de la construction de la LGV entre Bordeaux et l’Espagne.
B.A.P a par ailleurs écrit au Préfet de Région pour lui faire connaître la position négative de notre association concernant le nouveau tracé entre Bordeaux et l’Espagne s’il n’était pas complété par une liaison directe entre Mont de Marsan et Pau.
B.A.P a été également auditée par Réseau Ferré de France via un bureau d’étude spécialisé, concernant les solutions d’amélioration de la desserte du Béarn et de la Bigorre.
Enfin, B.A.P a participé à des séminaires de travail organisés par R.F.F à Mont- de- Marsan, Orthez, Tarbes et Pau pour confronter les points de vue sur les différentes solutions d’amélioration de desserte du Béarn et de la Bigorre.
Toujours sur le même sujet, nous sommes intervenus dans des réunions organisées à Bayonne et à Pau par les Chambres de Commerce et d’Industrie de ces deux villes.
Pour ce qui est des questions routières, B.A.P est à l’origine, avec un collectif d’Oloronais, de l’élaboration et à la diffusion d’une pétition en faveur du doublement routier de la liaison Pau-Oloron, grâce à une voie nouvelle, complémentaire de l’actuelle RN 134, évitant d’encombrer l’entrée sud de Pau (route de Gan à Jurançon), ainsi que la rocade Sud.
Malgré une faible diffusion limitée à Oloron et ces alentours nous avons recueilli à ce jour 1555 signatures auxquelles il faut ajouter 851 messages favorables sur le site Facebook, soit au total 2406 personnes en faveur de cette nouvelle route et beaucoup plus sans doute, si nous faisions une diffusion plus systématique et plus large dans la région.
Nous remettrons solennellement tout à l’heure à Georges LABAZEE, Président du Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, l’ensemble de ces pétitions.
Sachez aussi qu’en ce qui concerne la route entre Pau et le Somport une nouvelle association de riverains, usagers et d’élus a vu le jour sous le nom de :
RN 134 PAU-SOMPORT E7
Le but de cette association est de moderniser et sécuriser l’Itinéraire existant de Pau au tunnel du Somport en priorisant les déviations, d’Urdos, Cette-Eygun, Asaps, Gurmençon, Gabarne et Gabarne Pont Laclau
B.A.P a donc adhéré à cette nouvelle association qui est en réalité un super collectif, puisqu’elle n’est ouverte qu’aux associations et uniquement aux élus à titre individuel.
Des actions de blocage de routes vont être développées comme celle qui a eu lieu à Asasp avant hier, et B.A.P y participera tout naturellement.
Je salue Claude Elichiry, Maire de Buziet, Président de cette nouvelle association qui est en déplacement et n’a pas pu se joindre à nous ce jour, à son grand regret, ce qui ne nous empêche pas d’avoir plusieurs membres de cette association présents ce soir à l’Assemblée Générale de B.A.P et je les en remercie. Permettez-moi de citer simplement Henri BETBEDER, Président de l’Association VIRIUS et le Docteur Jean Pierre Maisonnave, Président d’une association de Riverains Oloronais de la rue Jeliote, tous deux engagés à fond dans le super collectif qui n’a pas fini de faire parler de lui.
Je ne saurai terminer ce bilan d’activité sans citer le travail que fait la Commission Routes et Autoroutes sur le dossier du nouvel échangeur de Morlaàs avec la communauté des communes de Morlaàs et son Président Dino Forté.
Enfin, le 2 avril dernier nous avons rencontré le nouveau Préfet des Pyrénées- Atlantiques, Lionel BEFFRE.
Le contact avec le représentant de l’Etat s’est avéré très intéressant au cours d’un entretien qui a duré 1 heure 30.
Nous avons pu exposer au nouveau Préfet, l’ensemble des problèmes d’infrastructures routières et ferroviaires qui se posent au Béarn en termes d’accessibilité et de visibilité de nos territoires. Nous avons la faiblesse de penser que nous avons été attentivement écoutés et espérons-le, entendu, dans un environnement budgétaire difficile pour tous.
En conclusion, l’état des lieux des grands dossiers suivis par B.A.P est à ce jour, le suivant :
- concernant les questions autoroutières, la réalisation de l’échangeur de Morlaàs sur l’A64, est rentrée dans une phase plus dynamique avec un consensus de plus en plus important pour faire cet ouvrage. La discussion qu’a eue récemment Georges LABAZEE avec le PDG d’A.S.F, Monsieur Pierre Coppey, marque incontestablement une progression dans l’avancement du dossier.
En ce qui concerne l’A65, alors que le réseau autoroutier français subit une baisse de 3% du trafic, dû principalement à la crise économique et aux prix du carburant, l’A65 voit au contraire son trafic VL augmenter de 5% et sont trafic poids lourds de 15%.
L’A65 reste cependant pénalisée par les polémiques excessives développées en direction de l’opinion publique sur les tarifs mais également par la non-modernisation de la liaison Pau-Oloron-Somport.
- concernant la question routière, B.A.P n’est donc plus seule dans son action en faveur de l’amélioration de la liaison Pau-Oloron-Somport. Désormais d’autres associations se sont réunies pour faire avancer ce dossier dans le cadre du Super Collectif RN 134 Pau-Somport-E7.
Les buts de la nouvelle association correspondent exactement à la proposition défendue par B.A.P depuis des années, c’est-à-dire, l’amélioration des routes existantes et la création de toutes les déviations de villages, sauf qu’entre Oloron et Pau, B.A.P considère qu’il faut, en plus, créer une route nouvelle complémentaire et alternative de la RN 134 pour partager le trafic actuel qui est de plus de 12000 véhicules jour entre Oloron et Gan et plus de 18000 véhicules jour à l’entrée sud de Pau (route de Gan).
Au-delà du désenclavement d’Oloron et de la diminution de la circulation que cela entraînera à l’entrée sud de Pau ainsi que sur une bonne partie de l’étroite rocade paloise, c’est la solution la plus efficace pour sécurisera l’actuelle route existante entre Pau et Oloron en la débarrassant ainsi d’une part significative de son trafic de transit.
Pour être complet sur cette question, n’oublions pas que côté espagnol, quatre nouvelles autovias (gratuites) vont arriver à Jaca, c’est-à-dire à proximité immédiate du tunnel du Somport, d’ici quelques mois.
Il s’agit de l’A2-l’A21-l’A22 et l’A23 vers Madrid Saragosse Barcelone Segunto et Pampelune.
Côté français la liaison Bordeaux Espagne va devenir payante avec la mise en concession de l’A63 sur la totalité du trajet. Cela va rabattre, inévitablement, du trafic vers l’A65 et le tunnel du Somport.
- Pour ce qui concerne le ferroviaire et la desserte du Béarn et de la Bigorre, 4 scénarii ont été finalement retenu pour être soumis à l’enquête publique au plus tard en 2013 :
Le scénario A : il prévoit la desserte d’Orthez par une ligne nouvelle (à grande vitesse) qui venant de Mont-de-Marsan évite Dax. Depuis Orthez on utilise les lignes existantes pour desservir Pau et partiellement nouvelles pour desservir Tarbes.
Le scénario B : il prévoit la desserte directe de Pau depuis Mont-de-Marsan par une ligne à grande vitesse. A partir de Pau, Tarbes est desservie par une ligne partiellement nouvelle et Orthez est desservie depuis Pau et Dax.
Le scénario C : il prévoit la desserte directe de Pau depuis Mont-de-Marsan par une ligne à grande vitesse empruntant le tracé de l’A65, ce qui rallonge le trajet et augmente le prix à cause des délaissés entre le tracé de l’A65 et celui de la LGV qui sont peu compatibles techniquement.
Le scénario D : il prévoit la desserte de Pau par Dax et les lignes existantes rénovées. Ce scénario n’en est pas un pour B.A.P puisqu’il pérennise la situation actuelle. Sauf que les T.G.V, en provenance de Bordeaux, arrivent désormais à Dax, après être passés par Mont-de-Marsan et non plus par Facture et Morcenx, ce qui occasionne un détour de plus de 60 km, au lieu de 30 km actuellement, sans compter que la rénovation lourde de la ligne Pau Dax, qui ne permettra de gagner que 7 minutes, sera aussi coûteuse ou presque que la ligne nouvelle entre Mont-de-Marsan et Pau.
Inutile de dire que la préférence de B.A.P va au scénario B qui met Pau à 53 minutes de Bordeaux (d’après RFF) tout en ne parcourant que 200 km.
Cette solution nous semble équilibrée entre l’intérêt des Orthéziens à l’ouest, des Tarbais et Lourdais à l’est, dont Pau se trouve à égale distance.
Il faut savoir que cette solution B a également la préférence des chambres Commerce et d’Industrie de Pau et du Béarn, des Hautes Pyrénées, et des Landes ainsi que de la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie d’Aquitaine.
Enfin, cette solution B a fait l’objet d’une motion de soutien, signée par les maires de Pau, Tarbes et Lourdes, ainsi que par les Présidents des Conseils Généraux des Pyrénées Atlantiques et des Hautes Pyrénées.
L’idéal serait que cette solution puisse se réaliser dans le cadre des G.P.S.O, si on ne veut pas attendre les calendes grecques, c'est-à-dire 30 ans et plus avant de voir quelque chose venir.
J’en ai terminé avec ce rapport d’activité et d’actualité, s’il y a d’autres questions à traiter qui vous intéressent, je propose de les aborder au point 7 de notre A.G qui est réservé aux questions réponses.
Je vous remercie de votre attention.
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L’Assemblée Générale annuelle de l’association Béarn Adour Pyrénées s’est déroulée le 26 avril 2012, à 18 heures, salle Navarre du Parc des Expositions de Pau, devant un peu plus d’une centaine d’adhérents et au total 155 membres représentés avec les pouvoirs reçus.
En dehors des adhérents, on a pu noter la présence de :
- Georges LABAZEE, Président du Conseil Général, Sénateur des Pyrénées-
Atlantiques.
- Bernard MOLERES, Vice-Président du Conseil Général des Pyrénées-Atlantiques.
- Jean LASSALLE, Député des Pyrénées-Atlantiques.
- Frédérique ESPAGNAC, Sénatrice des Pyrénées-Atlantiques.
- Véronique LIPSOS-SALLENAVE, Conseillère Régionale d’Aquitaine.
- Pierre CHERET, Conseiller Régional d’Aquitaine.
- Patrick de STAMPA, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Pau
Béarn.
- Jean GASTOU, Maire de Cette-Eygun.
- Henri BETBEDER, Président de l’Association V.I.R.I.U.S.
- Jean-Pierre MAISONNAVE, Président de l’Association des Riverains, rue Geliotte
d’Oloron.
Le bilan d’activité de l’association relaté par le Président, Jean-Michel LAMAISON, ainsi que le bilan comptable présenté par le Trésorier Adjoint, Michel JOLFRE, ont été approuvés à l’unanimité.
Par ailleurs le renouvellement annuel du tiers sortant du Conseil d’Administration a permis d’élire 12 membres, dont 10 qui se représentaient et 2 nouveaux arrivants : Martine GAULET et Emmanuel PENE.
Le Président Georges LABAZEE a ensuite relaté en détail, l’état d’avancement des dossiers routiers et ferroviaires intéressant le Béarn, notamment la Pau-Oloron avec la déviation Gabarn/Gurmençon et Gabarn/Pont Laclau ainsi que l’échangeur de Morlaàs et le transfert à l’Etat de la portion de route départementale entre Urt et Bayonne pour qu’elle soit intégrée à terme à l’autoroute A64 sans augmentation du péage.
Sur le plan ferroviaire, le Président Georges LABAZEE a confirmé que la commission du débat public devrait être saisie fin 2012, début 2013, des 4 scénarii restant en piste pour
l’amélioration de la desserte ferroviaire du Béarn et de la Bigorre.
A l’issue de l’Assemblée Générale, Jean-Michel LAMAISON, Président de B.A.P entouré des Vice-Présidents, Jean-Claude PATALANO et Robert PAILLASSA et des Présidents d’Honneur, Jean-Michel GUILLOT et Michel BRAU, a remis solennellement au Président LABAZEE 2406 témoignages en faveur de la future route Pau-Oloron dont 1555 pétitions signées (dans plus de 200 communes) et 851 messages de soutien sur Facebook.
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La réunion concernant l’amélioration de la desserte du Béarn et de la Bigorre a eu lieu le mercredi 4 avril 2012.
Cette réunion organisée par la C.C.I Pau Béarn a été animée par son Président, Patrick de Stampa et a rassemblé plus de 200 personnes.
On notait parmi les participants :
- Martine Lignières-Cassou, Maire de PAU.
- Monsieur Gérard Trémège, Maire de Tarbes.
- Monsieur François Xavier Brunet, Président de la C.C.I des Hautes-Pyrénées.
- Monsieur Jean Arriubergé, Vice-Président du Conseil Général des Pyrénées-Atlantiques, représentant de Monsieur Georges Labazée, Président.
- Monsieur Laurent Courbu, Président de la C.C.I de la région Aquitaine.
- Monsieur Philippe Jacquemain, Président de la C.C.I des Landes.
Jean Poulit a fait un exposé techniquement et économiquement très au point d’où il ressortait que la meilleure solution était la desserte directe de Pau par Mont-de-Marsan, dans le cadre de la solution B, en prenant la précaution qu’elle reste compatible avec la solution B+ (c’est-à-dire ménageant la possibilité d’un tracé plus au Nord entre Pau et Tarbes).
Tous les intervenants politiques ont confirmé ce choix y compris le Président de la C.C.I des Landes. Seul Monsieur Ricarrère, ancien Maire d’Orthez, a plaidé pour le passage par les lignes existantes (solution E).
Il faut savoir que le passage par Dax et les lignes existantes induit 63 km de plus entre Bordeaux et Pau, c’est-à-dire qu’il y aura 263 km à parcourir sur l’ensemble du trajet au lieu de 200 km seulement, avec une liaison directe entre Mont-de-Marsan et Pau.
De plus, ce passage par Dax oblige à rouler à vitesse modérée sur 90 km de lignes existantes, qui, même rénovées ne permettent aucune amélioration significative des performances.
Au total, le passage par Dax mettra Pau à 1h40 de Bordeaux au lieu de 53 mm en passant directement par Mont-de-Marsan.
Les représentants de B.A.P ont pris la parole au cours de cette manifestation pour donner la position de l’association, qui est la solution B compatible avec la B+, c’est-à-dire la liaison directe entre Pau et Mont-de-Marsan.
Ce sont exprimés pour B.A.P : JM Lamaison, JC Patalano, F. du Cluzel, P. Saubot.
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Une nouvelle fois, l ‘aéroport de Pau se distingue et fait la une des medias y compris nationaux en figurant parmi les aéroports sans trafic depuis deux jours. Déjà handicapé par l’ absence de compagnies low-cost, Pau-Uzein n’avait certainement pas besoin de cette publicité supplémentaire, pour contribuer de manière aussi négative au désenclavement du Béarn. Comment peut-on accepter qu’une poignée de contrôleurs aériens qui ne sont ni surmenés, ni sous la pression d’un trafic excessif ou d’une météorologie capricieuse et dont les conditions de travail et la rémunération pourraient être considérées comme extrêmement enviables par bon nombre de travailleurs, puissent encore tenir une région entière en otage au gré de leur bon vouloir ?
Explication : il semble que Pau bénéficie d’une “protection sociale” supplémentaire qui garantisse le blocage total du trafic par la volonté d’un seul du fait de l’obligation de présence d’un Chef de quart, mais sans obligation d’astreinte pour lui, une survivance qu’on ne retrouve qu’ à Pau, Lille et Montpellier. Pratique et peu couteux pour les intéressés et une minorité d’ adeptes du jusqu’auboutisme catégoriel . Désastreux pour tous les autres. Ceux qu’ils appellent les usagers, faute d’avoir compris ce que sont des clients.
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GROUPE FACEBOOK http://www.facebook.com/Olorondirect
Au 15 mars 818 visiteurs approuvent commentent et souhaitent une liaison directe Oloron-Pau
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Cet article paru ce jour sous la plume de Bernard Boutin. D’ habitude selon les rédacteurs d’ A@P, BAP en fait trop. Cette fois ce ne serait pas assez.
Pas facile décidément…de “gagner en affectif populaire” (est-ce notre objectif ?) , quand on s’ intéresse au désenclavement du Béarn et pas nécessairement au plan de circulation de l’ agglomération.
lundi 12 mars 2012 par Bernard Boutin
Les accès de Pau bouchés. Les parkings-relais insuffisants
Les accès de Pau bouchés. Les parkings-relais insuffisants. La rocade trop chargée. Des milliers de "pendulaires*" en carafe. Conséquence : Une attractivité du territoire en berne. Qui pour débloquer la situation ?
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Télécharger le bulletin BAP NL N° 29 (8422.5K )
Au sommaire:
Un entretien avec Georges Labazée
La déviation d’ Oloron, première étape de la liaison Oloron-Pau
Le point après les ateliers RFF
LGV Béarn-Bigorre: pourquoi le chemin le plus court est-il aussi la ligne droite
Un entretien avec le Président d’ Aliénor
Ce 29ème numéro est aussi pour le BAP l ‘occasion de remercier son infatigable Directeur de Publication qui a réalisé les 28 autres depuis le tout premier (voir ici) et qui a souhaité après tant de combats, prendre un peu de recul. Nous devons à Jean-Michel Guillot un très grand merci en plus d’un grand coup de chapeau en échange de sa plume qu’il nous sera bien difficile de remplacer. |
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Lors de la cérémonie des vœux au Palais Beaumont à Pau, Patrick de Stampa, président de la CCI-Pau-Béarn développe longuement le sujet de la desserte LGV du Béarn et de la Bigorre, constatant que les deux régions voisines sont confrontées à un défi : « sortir de l’isolement car nous sommes les oubliés de l’histoir ». Partisan d’une liaison directe Mont-de-Marsan-Pau, il redoute que, s’il n’en était pas ainsi, ce serait les Landes et le Pays basque qui seraient irrigués par le TGV. « Aujourd’hui, nous sommes sous cloche, on est en train de nous étouffer »
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RFF vient d’adresser au président du Conseil régional d’Aquitaine une lettre dans laquelle est détaillé le travail qui sera accompli sur la ligne ferroviaire d’Oloron à Bedous : d’abord remplacer la voie, ses rails, ses ballasts et ses traverses. Ensuite réparer tous les ouvrages ( ponts franchissant les gaves ou les routes) les tunnels et aménager les haltes àBidos, Lurbe-Saint-Christau et Bedous, ainsi que la gare d’Oloron. Il restera ensuite à réhabiliter 32 km jusqu’à Canfranc… (Sud Ouest)
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